FAQ

Compilation des questions fréquemment posées FAQ.

Est integré dans «Solutions standard - Partie I» à partir de la seconde édition augmentée et donc superflus.

Conformément à «Solutions standards – Partie I» [2], avec la solution standard WE3 «Installation de chauffage au bois bivalente sans accumulateur», la température du primaire départ T341 (valeur principale de réglage) est mesurée avant la dérivation; la mesure après la dérivation pour T342 est uniquement prévue à titre de variante avec priorité maximale sur la température de retour T344. Pourquoi la mesure n’est-elle pas systématiquement effectuée après la dérivation et réglée sur la valeur la plus basse possible (p.ex. la plus grande demande de chaleur instantanée)?

Est précisé dans «Solutions standard - Partie I» à partir de la seconde édition augmentée et donc superflus.

Est précisé dans «Solutions standard - Partie I» à partir de la seconde édition augmentée et donc superflus.

Dans les «Solutions standard prédéfinies – partie 1», les dessins de tous les circuits de chaudière contiennent des bipasses (par ex. D311 et D321 dans la Figure 1). Ces bipasses peuvent être réalisés ou omis. Quand ces bipasses sont-ils conseillés, quand non?

Dans les «Solutions standard prédéfinies – partie 1», on aperçoit des pompes près de l’entrée de la chaudière. L’installation d’expansion est raccordée derrière les pompes au retour primaire. Ce type de raccordement est-il obligatoire?

Selon les «Solutions standard prédéfinies – partie 1» toutes les installations à plusieurs chaudières devraient être équipées d’un régulateur de séquence selon la grandeur commandée principale. Qu’entend-en par le terme de régulateur de séquence?

Il est plus facile de s’imaginer à quoi devrait ressembler une représentation raisonnable des données en consultant d’abord de mauvais exemples.

Les chaudières à gaz à condensation ne sont utiles que si elles passent le plus important de leur ac-tivité en phase de condensation. Quelles sont les conditions pour une exploitation en condensation et comment incorporer une chaudière à gaz à condensation ?

Il arrive relativement souvent qu’une chaudière à mazout/gaz existante doive être intégrée à un réseau de chaleur alors qu’elle ne se situe pas dans la centrale de chauffe avec la chaudière à bois. Comment intégrer une chaudière à mazout/gaz externe de ce type?

Les chaudières à pellets (mais aussi les petites chaudières à plaquettes) avec accumulateur d’une puissance jusqu’à environ 150 kW sont fréquemment exploitées avec des concepts de réglage non satisfaisants. Comment exploiter ce type d’installation?

L’exploitation de chaudières à bois en fonctionnement à faible charge (mi-saison, exploitation estivale, périodes prolongées d’exploitation réduite) engendre fréquemment des ennuis. Quelle doit être la charge minimale pour éviter les problèmes?

En fonctionnement à faible charge (exploitation estivale, mi-saison, périodes prolongées d’exploitation réduite), il est judicieux de remplir intégralement l’accumulateur avant de le vider en totalité. Comment le mode d’exploitation REMPLISSAGE/VIDANGE doit-il être verrouillé et déverrouillé?

Les solutions standard partent du principe que les générateurs de chaleur, les  ccumulateurs et les raccordements «hors pression» se succèdent de près dans un ordre donné. Si ce n’est pas le cas, quel rôle jouent l’ordre d’intégration et l’éloignement des générateurs de chaleur, accumulateurs, etc.?

Tout distributeur «hors pression» peut bien sûr être raccordé à une conduite à distance, à condition de ne pas supprimer la dérivation. Dans cette situation, l’intégralité du débit dimensionné transite cependant toujours par le raccordement et la température de retour s’élève. Or ceci n’est pas permis en cas d’utilisation d’un accumulateur et en présence de pompes de conduite à distance commandées par le régime. Quelles sont les solutions?

Est intégré dans «Solutions standard - Partie I» à partir de la seconde édition augmentée comme WE7 et WE8 et donc superflus.

Les échangeurs de gaz de combustion sont souvent mal intégrés – aussi bien du côté de l’eau de chauffage que du côté des gaz de combustion – en raison d’une prise en compte insuffisante des critères d’utilisation. Comment intégrer un échangeur de gaz de combustion conformément aux critères d’utilisation spécifiés?

Lorsque le système d’assurance-qualité «QM Chauffages au bois» a été conçu, les séparateurs de particules n’étaient pas encore à l’ordre du jour. Les documents publiés jusqu’à présent contiennent par conséquent très peu d’informations et de recommandations à ce sujet. La question «Quels sont les points à prendre en compte pour l’intégration de séparateurs de particules?» sera complétée autant que possible dans les futures éditions.

L'un des problèmes récurrents vient des régulateurs qui s’entravent mutuellement au sein du circuit de la chaudière. Comment dimensionner le circuit de la chaudière et définir les valeurs de consigne de la chaudière pour éviter efficacement cette situation ?

Il n’existe pas de solution standard pour les installations monovalentes à 3 chaudières (ni dans la Partie I [2], ni dans la Partie II [5]). En Suisse, les installations monovalentes à 3 chaudières régulées en fonction de la puissance de combustion (conformément à la Partie I) sont avant tout conçues pour chauffer avec la plus petite des chaudières en période estivale et avec du bois en mi-saison (respect de la charge minimale). Comment réaliser la commutation en séquence d’une installation monovalente à 3 chaudières de ce type?

QM Chauffages au bois recommande de réaliser, si possible, les installations de chauffage au bois avec accumulateur. Quels sont les avantages d’un accumulateur et comment le dimensionner?

Les installations avec deux chaudières à bois sont souvent dotées d’un filtre à particules électrostatique commun, ce qui revient nettement moins cher que d’utiliser deux séparateurs distincts. Quels sont les avantages et les inconvénients d’un filtre à particules électrostatique commun?

QM Chauffages au bois recommande de dimensionner les installations bivalentes de façon à atteindre un taux de couverture de 80 à 90% avec le bois, c.-à-d. pour couvrir les besoins énergétiques annuels avec 80 à 90% de bois et 10 à 20% de combustible fossile (mazout/gaz). Comment est calculé le taux de couverture du bois?

Les installations associées à des conduites à distance exigent une température de retour aussi basse que possible. Sur les installations avec accumulateur, c’est une condition indispensable à un bon fonctionnement, étant donné que l’autonomie est directement fonction de l’écart de température entre le départ et le retour. Avec ou sans accumulateur, un écart de température important signifie pour une installation moins de débit et donc moins d’électricité consommée pour faire tourner la pompe. Quelles sont les mesures favorisant une faible température de retour?

Outre le comptage de la chaleur dans le circuit de la chaudière à bois conformément aux solutions standard [2] et [5], un comptage simplifié peut être effectué via la commande par programme enregistré de la chaudière à bois ou le système d’automatisme du bâtiment. Quelles sont les possibilités de comptage de la chaleur dans le circuit d’une chaudière à bois?

Avec les solutions standard [2], QM Chauffages au bois définit le concept de régulation fondamental, mais n'impose aucune exigence aux régulateurs individuels et encore moins en termes de paramètres de régulation. L’expérience a pourtant montré que les fabricants expérimentés de chaudières à bois et d’appareils de régulation sont en mesure de réaliser une régulation stable, mais n’y parviennent souvent qu’après qu’il a été laborieusement démontré (dans le cadre de l’optimisation de l’exploitation) que la régulation manquait de stabilité. A quelles exigences sont soumis les régulateurs et les paramètres de régulation de la puissance via l’état de charge de l’accumulateur?

Le stockage de quantités importantes de plaquettes comporte un risque d’autocombustion. Comment prévenir les incendies dans les silos et les entrepôts extérieurs de plaquettes?

La description portait jusqu’ici sur l’exploitation estivale par REMPLISSAGE/VIDANGE (notamment dans la FAQ 13). L’exploitation en faible charge en hiver a certes également été décrite (notamment dans la FAQ 7), mais conduit fréquemment à des problèmes. C’est pourquoi elle est examinée en détail ici.

La FAQ 24 définit des critères pour une température de retour aussi basse que possible. Existe-t-il également des critères en matière de températures de départ et de débits volumiques ? Plus particulièrement, quelles températures de départ et quels débits volumiques doivent être utilisés pour les conduites à distance?

La production d’eau chaude sanitaire est fréquemment source de problèmes au sein des réseaux de chaleur à distance: des directives de sécurité anti-légionelles doivent être respectées, le retour réseau devrait être le plus bas possible et la température de départ pas trop élevée afin d’éviter l’entartrage de l’échangeur de chaleur (voir aussi FAQ 29 à ce sujet). Quelles solutions de production d’eau chaude sanitaire sont adaptées aux réseaux de chaleur à distance?

Dans la pratique, on rencontre fréquemment des échangeurs de chaleur qui fonctionnent de façon non satisfaisante en raison d’un dimensionnement inadapté et d’un mauvais équilibrage. Comment dimensionner et équilibrer les échangeurs de chaleur?

Dans la pratique, on rencontre une forte volonté de recours à l’énergie solaire thermique. Côté générateur, il s’agit généralement d’une grande surface solaire unique et, côté consommateur, plutôt de nombreuses petites surfaces solaires. Comment intégrer des panneaux solaires?

Afin de garantir une température donnée dans le système de distribution d’eau chaude sanitaire, les installations de grande envergure nécessitent un réseau doté d’une pompe de circulation. Cette dernière perturbe toutefois considérablement le fonctionnement d’un accumulateur à stratification. Quels sont donc les aspects à prendre en compte pour le système de circulation de l’eau chaude sanitaire?

La FAQ 29 (Température de départ de la conduite à distance) et, encore davantage, la FAQ 30 (Solutions de production d’eau chaude sanitaire) soulignaient déjà à plusieurs reprises que pour éviter les légionnelles il fallait atteindre des températures suffisamment élevées et proscrire les zones où l’eau chaude sanitaire pourrait stagner. La contamination de l’eau chaude sanitaire par l’eau de chauffage constitue en effet un risque. Quelles mesures constructives est-il possible d’adopter pour éviter ce problème?

Des consommateurs isolés ont souvent un effet négatif sur le réseau de chauffage à distance. S’ils sont mal conçus et ne sont pas soigneusement appariés, il faudra une température du primaire départ plus élevée que nécessaire et la température du primaire retour sera mélangée inutilement haut en raison des températures de retour excessives. Il est donc dans l’intérêt de l’exploitant du réseau de s’intéresser de près à ses propres consommateurs, mais aussi à ceux exploités par des tiers. Quels aspects faut-il prendre en compte pour l’optimisation du circuit secondaire des consommateurs?

La nouvelle ISO 17225 «Biocombustibles solides – Classes et spécifications des combustibles» a remplacé l’ancienne ISO 14961-4:2011. La classification des combustibles et des dimensions de particules obéit à l’ISO 17225-1:2014 «Partie 1: Exigences générales» et à l’ISO 17225-4:2013 «Partie 4: Classes de plaquettes de bois)».

Optimisation de la puissance thermique minimum réglable d’un branchement de groupe à débit constant (FAQ 37 Figure 1 a)

Le branchement 1a correspond à un branchement de groupe (groupe de chauffage, groupe réfrigérant ou groupe de conduites à distance avec vannes d’injection à trois voies dans les sous-stations), exploité avec un débit constant (pompe non régulée au régime nominal). Le branchement 1a n’est pas pertinent pour les solutions modernes de chauffage à distance à débit variable.

Antwort zur FAQ

Comment est définie et décrite la disponibilité des séparateurs électrostatiques (filtres électro statiques)?